NE JAMAIS S’ARRÊTER by Jose Andres Ocana - HTML preview

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La victoire a cent parents, la défaite est un orphelin. John F. Kennedy

 

 

22. une petite chenille

Une petite chenille marchait un jour vers le soleil. Très proche de la route était une sauterelle.

-Où vas-tu ? Il a demandé.

En marchant, la chenille répondit : J’ai fait un rêve la nuit dernière, j’ai rêvé que depuis le sommet de la grande montagne j’ai regardé à travers la vallée. J’ai aimé ce que j’ai vu dans mon rêve et j’ai décidé de le faire.

Surpris, la sauterelle dit que son ami s’éloigna : -vous devez être fou ! comment pouvez-vous arriver à cet endroit ? vous, une simple chenille ! Une pierre sera une montagne, une petite flaque d’eau, une mer et n’importe quel tronc une barrière impraticable.

Mais la chenille était déjà très loin et ne l’entendit pas, son minuscule corps n’arrêtait pas de bouger. Soudain, la voix d’un coléoptère a été entendue :

-Où est-ce que tu vas si fort ?

La transpiration, le petit arbre dit haletant:-I avait un rêve et je veux le faire, aller jusqu’à cette montagne et de là contempler tout notre monde.

Le coléoptère ne pouvait pas contenir de rires, il a abandonné son rire et a dit : -même moi, avec mes grosses pattes, essayerais de faire quelque chose de si Ambitieux...-et se tenait sur le sol, riant mort, tandis que la chenille a poursuivi son chemin, avancé de quelques centimètres.

De la même manière, l’araignée, la taupe, la grenouille, la fleur... Et tout le monde qui a trouvé son chemin, a conseillé à notre ami de renoncer : -vous ne le fera jamais ! -ils lui ont dit, mais une impulsion irrésistible à l’intérieur de lui, a obligé la chenille à suivre.

Et donc il a fait jusqu’à ce que, épuisé, sans force, il se sentait mort, alors il a décidé de s’arrêter pour se reposer, non sans avant de construire, avec un dernier effort un endroit pour passer la nuit. « Je serai mieux », a été la dernière chose qu’il a dit, et à l’intérieur de son refuge, il est mort.

Tous les animaux dans la vallée sont allés à regarder leurs restes, il y avait l’animal le plus fou dans le monde, avait construit un monument à la folie comme une tombe, un refuge dur, digne de quelqu’un qui est mort pour vouloir faire un rêve irréalisable, toutes les lumières.

Un matin, dans lequel le soleil brillait d’une manière spéciale, tous les animaux réunis autour de ce qui était devenu un avertissement à l’audace.
Soudain, ils ont été étonnés, car ce genre de coquille dure a commencé à s’effondrer et a vu, avec étonne ment, les yeux et les antennes qui ne pouvaient pas être, en tout cas, la chenille qui était morte.
Peu à peu, comme pour leur donner le temps de reconstituer l’impact, étaient de sortir une belle ailes arc-en-ciel attaché à la minuscule corp d’un papillon qui, lentement, a été l’ouverture, les montrant dans Toute sa splendeur.
Ils ont tous contemplé un être impressionnant et beau avec des ailes et compris qui pourrait bien, facilement, réaliser le rêve de la petite chenille, le rêve pour lequel il avait vécu, pour lequel il était mort et pour lequel il était retourné à vivre : pour atteindre le sommet du Montagne !
Quel tort ils avaient été ! Et de penser qu’il avait été conseillé de se désiste... !

Pour faire un rêve, il faut y croire et y vivre. Pourtant, il peut sembler que nous ne le réaliserons pas, surtout quand tout le monde autour de nous ne le voit pas faisable. C’est alors qu’un peu d’être comme la chenille peut venir à notre aide, nous montrant la bonne direction.
Peut-être qu’il s’agit de faire un arrêt le long du chemin, comme elle. Et, comme elle, de vivre un changement radical dans nos vies et, alors, nous pouvons... nous réussirons !

Bien que nous ne devions pas oublier que le succès dans la vie n’est pas mesuré par les réalisations obtenues, mais par les obstacles que nous avons dû affronter sur notre chemin.