NE JAMAIS S’ARRÊTER by Jose Andres Ocana - HTML preview

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Un vieux proverbe chinois dit que lorsque le sage pointe son doigt sur les étoiles, l’imbécile regarde invariablement la main.

 

 

60. Combien coûte un miracle ?

 

C’était une fille de 8 ans, très précoce pour son âge.
Un jour, il entendit sa mère et son père parler de son petit frère Andrés.
Elle savait seulement que son frère était très malade et que sa famille n’avait pas d’argent.
 
Ils ont prévu de déménager dans un immeuble d’habitation le mois suivant parce que leur père n’avait pas l’argent pour les factures médicales et l’hypothèque de la maison qu’ils habitaient.


Une seule opération, coûteuse, pourrait sauver Andrés. Il a entendu que son père avait demandé un prêt, mais il ne pouvait pas l’obtenir. Il entendit son père dire à sa mère, qui pleurait fortement :
"Seul un miracle peut le sauver."

Teresa est allée dans sa chambre et a sorti un bocal de confiture qu’elle gardait caché dans le placard. Il a vidé tout son contenu dans le sol et l’a compté attentivement. Il a compté une deuxième fois et un troisième. Le montant devait être parfait.

Il n’y avait pas de place pour l’erreur. Puis il a mis toutes les pièces dans le bocal à nouveau, il a recouvert et a glissé par la porte arrière et a marché six rues à la pharmacie qui avait un chef indien.

Il attendit patiemment pour son tour. Le pharmacien avait l’air très occupé à l’époque et ne prêtait pas attention à lui.

Teresa secoua le pied faire un bruit.
Rien. Il s’est débarrassé de sa gorge avec le pire son qu’il pouvait produire.
Rien.
 
Enfin, il a pris une pièce de monnaie du bocal et a frappé le comptoir.

"Que voulez-vous ?" demanda le pharmacien dans un ton plutôt désagréable.
Et il a ajouté sans attendre une réponse :
-"Je parle à mon frère qui vient d’arriver de Houston et je ne l’ai pas vu depuis des années."


« Eh bien, je veux vous parler de mon frère », répondit Teresa dans le même ton que l’utilisation du pharmacien.
-"Il est très malade et je veux acheter un miracle."

"Qu’est-ce que vous dites ?" Dit le pharmacien.
-"Son nom est Andrés et il a quelque chose de pousse à l’intérieur de sa tête et mon père dit que seul un miracle peut le sauver. Alors, combien coûte un miracle ?
-"Nous ne vendons pas de miracles ici, petite fille. Je suis désolé, mais je ne peux pas vous aider », répondit le pharmacien ; Maintenant, dans un ton plus doux.
-"Ecoutez, j’ai l’argent pour le payer. Si ça ne suffit pas, je vais chercher le reste. Dites-moi juste combien ça coûte.
 
Le frère du pharmacien était un homme sobre et élégant. Il s’inclina et demanda à la fille :
- « Quel genre de miracle votre petit frère a-t-il besoin ?»
-"Je ne sais pas." Teresa répondit avec ses yeux sur le sujet pour exploser.
- « Je sais seulement qu’il est très malade et ma maman dit qu’il a besoin d’une opération.
Mais mon père ne peut pas se le permettre, alors je veux utiliser mon argent.
-"Combien d’argent avez-vous ?" "L’homme de Houston a demandé."
«UN dollar avec onze cents », répondit Teresa dans une voix qui était à peine comprise.
-"C’est tout l’argent que j’ai, mais je peux obtenir plus si vous en avez besoin."
"Eh bien, quelle coïncidence." Il a dit que l’homme souriait.
-"Un dollar avec onze cents, juste le prix d’un miracle pour les jeunes frères et sœurs."

Il a pris l’argent dans une main et avec l’autre il a pris le bras de la jeune fille et a dit :
- « Emmenez-moi à la maison. Je veux voir ton frère et rencontrer tes parents.
Voyons si j’ai le miracle dont tu as besoin.
 

Cet homme de bonne allure était le Dr Karl Armstrong, un chirurgien spécialisé en neurochirurgie. L’opération a été effectuée sans frais et en peu de temps, Andrés était de retour à la maison et en bonne santé. Les parents de Teresa ont parlé des circonstances heureuses qui ont amené ce médecin chez lui.
 
«Cette chirurgie », dit sa mère. --« c’était un vrai miracle ; Je me demande combien il aurait coûté ? Teresa sourit. Elle savait exactement combien un miracle coûtait : un dollar avec onze cents, plus la foi d’une fille.