NE JAMAIS S’ARRÊTER by Jose Andres Ocana - HTML preview

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Et pour guider ces versets de Juan Ramón Jiménez :
Ne courez pas, allez doucement,
Que là où vous devez aller n’est que vous !

 

 

 19. hier, j’ai rêvé que je pouvais et aujourd’hui je peux

De ma mère, j’ai appris qu’il n’est jamais en retard, vous pouvez toujours recommencer, en ce moment vous pouvez dire assez aux habitudes qui vous détruisent, les choses qui vous chaîne, la carte de crédit, les nouvelles qui vous empoisonnent du matin , à ceux qui veulent mener votre vie sur le chemin perdu, en ce moment vous pouvez dire assez pour craindre que vous avez hérité, parce que la vie est ici et maintenant.

Que rien ne vous distrait de vous-même, vous devez être attentif parce que vous n’avez toujours pas apprécié la plus grande joie ou souffert de la plus grande douleur.

Videz le verre tous les soirs pour que la vie vous remplisse d’eau Neuve le jour nouveau. Vivez instantanément, parce que c’est la vie.

Il m’a fallu 56 ans pour arriver ici, comment ne pas profiter, respecter ce moment ? Vous gagnez et vous perdez, vous allez de haut en bas, vous êtes né et vous mourrez. Et si l’histoire est si simple, pourquoi vous souciez-vous autant ? Ne vous asseyez pas et oubliez, nous sommes tout le sel de la terre.

Dans la tranquillité il y a la santé, comme plénitude dans un. Pardonnez, acceptez, te reconnaître et l’amour vous-même, rappelez-vous que vous devez vivre avec vous-même toujours.

Supprimez le passé de ne pas répéter, de ne pas abandonner en tant que votre père, de ne pas vous décourager en tant que votre mère, ne pas vous traiter comme ils vous traitaient, mais ne les blâmez pas parce que personne ne peut enseigner ce que vous ne savez pas, pardonnez-les et vous serez libre de ces chaînes.

Si vous êtes attentif au présent, le passé ne vous distraira pas, alors vous serez toujours nouveau. Vous avez le pouvoir d’être libre en ce moment même, le pouvoir est toujours dans le présent parce que toute la vie est à chaque instant.

 Mais ne dis pas que je ne peux même pas plaisanter, parce que l’inconscient n’a pas de sens de l’humour, il prendra au sérieux et il vous rappellera chaque fois que vous essayez !

Si vous voulez récupérer votre santé vous abandonnez la critique, le ressentiment et la culpabilité, responsables de nos maladies.

 PARDONNE à tous et pardonne, il n’y a pas de délivrance plus grande que le pardon, il n’y a rien comme vivre sans ennemis. Rien de pire pour la tête et donc pour le corps, que la peur, la culpabilité, le ressentiment et la critique qui vous fait juger (épuisant et futile tâche) et complice de ce que vous n’aimez pas.

Blâmer les autres n’est pas accepter la responsabilité de notre vie, est distrait de lui. Le bien et le mal vivent en vous, se nourrit plus du bien d’être le gagnant chaque fois que vous avez à faire face.

Ce que nous appelons les problèmes sont des leçons, donc rien de ce qui nous arrive n’est en vain. NE vous PLAIGNEZ pas, rappelez-vous que vous êtes nés nus, alors ces vêtements que vous portez sont déjà gagner.