Si le passé n’existe pas et que l’avenir n’est pas venu, je ne me soucie que du présent
27. il n’est pas nécessaire de craindre
J’avais peur d’être seule, jusqu’à ce que j’apprenne à m’aimer.
Je craignais d’échouer, jusqu’à ce que je réalise que je n’ai échoué que si je n’ai pas essayé.
Je craignais ce que les gens diraient de moi, jusqu’à ce que je réalise qu’ils penseraient encore à moi.
Je craignais d’être rejeté, jusqu’à ce que je comprenne que je devais avoir foi en moi-même.
Je craignais la douleur, jusqu’à ce que j’apprenne qu’il est nécessaire de grandir.
Je craignais la vérité, jusqu’à ce que je découvre la laideur des mensonges.
Je craignais la mort, jusqu’à ce que j’apprenne que ce n’est pas la fin, mais plutôt le commencement.
Je craignais la haine, jusqu’à ce que je réalise que ce n’est rien de plus que l’ignorance.
Je craignais le ridicule, jusqu’à ce que j’apprenne à rire de moi-même.
Je craignais de devenir vieux, jusqu’à ce que je réalise que j’ai gagné la sagesse jour après jour.
Je craignais le passé, jusqu’à ce que je réalise que je ne pouvais plus me blesser.
Je craignais l’obscurité, jusqu’à ce que j’aie vu la beauté de la lumière d’une étoile.
Je craignais le changement, jusqu’à ce que j’aie vu que même le plus beau papillon avait besoin de passer par une métamorphose avant de voler.
Que nos vies chaque jour ont plus de vie et si nous nous sentons faibles, nous allons ne pas oublier que
Si on touche au fond, on doit juste commencer à grimper.